Fil de discussion Adhérents ABUS1855 – A votre écoute

Bonjour, Mesdames, Messieurs,

Chers adhérents,

Vous avez manifesté depuis l’approbation du vote lié à l’élection des membres du bureau de l’association à la mi-novembre, de nombreux commentaires, parfois passionnés ou impatients, parfois en y annexant quelques idées, mais toujours prévenants et nous vous en remercions.

Nous avons souhaité attendre, ces tout derniers jours, la baisse de fréquentation du « forum ag-abus1855 «  et ses observations, afin de répertorier de façon globale les interrogations soulevées, et légitimes, et pouvoir vous présenter ici les éléments de réponse les plus clairs et directs.

Ainsi, les multiples échanges, sous la forme d’interventions, commentaires, suggestions et observations émises par vous, adhérents de notre association, sur le fil de « ag-abus1855@abus1855.org » pourraient êtres classés, après clarification, en six groupes principaux :

1)      La consignation des bouteilles avec leur double valeur (au moment de la commande et la valeur estimée aujourd’hui),

2)      Le problème des petites sommes engagées (soit un préjudice généralement constaté inférieur à 1000 euros réglés),

3)      Les démarches auprès de la presse généraliste, professionnelle et spécialisée,

4)      Les initiatives publiques avec les médias nationaux audio ou vidéo,

5)      L’interventionnisme actionnaire,

6)      Le conflit récurrent « y vais-je seul ?» ou « dois-je attendre l’action groupée ?».

Voici donc nos éléments de réponse, sachant que le 4 décembre, Marcel Chazalmartin a avancé de nombreux points d’information afin d’éclaircir la discussion, de même que les réponses faites sur le site par d’autres membres du bureau (Julien, et moi-même, Didier), ayant ainsi pour partie répondu à quelques unes de vos interrogations :

1 – La consignation des préjudices subis au regard des paiements encaissés et de la valeur ré-indexée des flacons commandés

Comme l’a indiqué Marcel Chazalmartin et à juste titre, le travail de recensement des montants pour chacun des adhérents est long et fastidieux, d’autant qu’indépendamment de l’intégration dans un tableau de ces éléments, un travail préparatoire en amont pour le recollement des données chiffrées avec chacun des adhérents est incertain et surtout sans garantie quant à sa complétude. Douglas semble disposer d’un modèle qu’il pourrait nous fournir. Nous lui en sommes reconnaissants, mais rien n’est moins sûr quant à la finalisation de ce document.

caisse de vin

Par ailleurs, et en arrière-plan, il convient de s’interroger sur l’utilité d’un tel dispositif. Ou bien il s’agit de déterminer par ce moyen une somme globale faisant état du préjudice financier (initial ou « raisonnablement » réactualisé ?, ce qui en soi est là encore un débat en propre) au nom des membres de l’association ; ou bien il faut imaginer, ce qui représente un travail colossal, la déclinaison de tous les flacons et millésimes pour chacun des adhérents, avec l’espoir, illusoire ?, d’une restitution. Avec, pour cette dernière hypothèse, les attributs les plus incertains qui s’y attachent.

2 – La viabilité de procédures pour les sommes réglées de moins de 1 000 euros

C’est en effet une vraie question en soi, à laquelle nous avons déjà répondu ici ou là sur l’onglet « Statuts-Adhésion » du site. Si vous ne disposez pas de protection juridique particulière et que les frais engagés, même préférentiels pour les adhérents de l’association, sont peu ou prou équivalents au montant de la tromperie causée, ce n’est pas l’association qui saura dans ces conditions vous orienter au mieux, mais bien plutôt votre propre intuition, voire votre lucidité de l’instant. Solliciter le tribunal compétent en faisant valoir et appliquer l’Art. L.114.1 du Code de la consommation et l’Art. 1610 du Code civil. Avec dommages et intérêts le cas échéant.

vintage book

Rappelons à ce propos qu’une association est l’action de se regrouper autour de buts ou d’objectifs communs, et que cela n’empêche nullement tout un chacun d’agir selon son bon vouloir à titre individuel, et avec notre soutien et nos conseils juridiques s’il le souhaite, et poursuivre les dépôts de plainte auprès des juridictions de proximité compétentes…

Mais dans le cas de figure qui précède, nous ne saurions nous substituer à la réflexion de chacun selon sa sensibilité ou la force de sa détermination. Comprenez-le bien.

3 – Les démarches auprès de la presse généraliste, professionnelle et spécialisée

Nombreux sont les magazines sérieux qui ont, pour certains depuis de nombreuses années, mis en avant les comportements étranges du site 1855.com, et relaté quelques expériences navrantes parmi leurs lecteurs, clients de ce site. Certes, cela a essentiellement concerné les revues déjà citées dans nos articles précédents, « La Revue du Vin de France », « Terre de Vins », par exemple, mais si les articles ont également fait l’objet de chroniques judiciaires dans la presse régionale « Sud-Ouest », l’élargissement commence à être observé à des revues d’obédience économique comme « Challenges », « Les Echos », etc…

presse

Des articles sont en préparation pour les rédactions (selon les thèmes « société », « économie », « consommation ») de revues hebdomadaires ou mensuelles de très large diffusion, y compris internationale. Mais nous n’avons pas à en dire trop pour  l’instant, si l’on tient compte que l’on s’adresse à des lecteurs autres que les seuls adhérents.

4 – Les initiatives publiques avec les médias nationaux audio et vidéo

L’un d’entre vous a proposé d’intervenir dans une émission radiophonique à très large audience et présente des sujets similaires. Si l’écho de ce type d’intervention à n’en pas douter serait important, encore faut-il en déterminer précisément les buts, sans entraver pour autant d’autres de nos objectifs. En effet, la préparation d’une telle émission doit s’asseoir sur un socle solide d’informations crédibles, et reconnues comme telles, afin de valider nos propos et plus encore de convaincre les auditeurs sur ces faits. Certes, nous avons songé croyez-le bien à intervenir sur d’autres antennes, y compris au travers d’une émission consommation « sérieuse » sur une chaîne télévisée française appartenant à un groupe multinational, ce dernier possédant la radio mentionnée plus haut.

Medias nationaux

Des réflexions sont en cours, croyez-le, s’agissant de « diffuser » le plus largement possible les mises en garde requises à propos de ces divers sites de vente de vins en ligne. Mais vous pourrez comprendre qu’il ne saurait être question, ici, de dévoiler plus avant notre stratégie préventive, sans minimiser, celle, tout aussi utile, visant à faire valoir nos droits à tous en livraison et/ou dédommagement à la hauteur des préjudices supportés.

5 – L’interventionnisme actionnaire

Ainsi que l’a précisé Alain Ehrsam, l’actionnariat est et reste une initiative et une décision individuelles. Comment imaginer qu’un certain nombre d’entre nous perde à nouveau des sommes non négligeables ? (cf. les calculs de Marcel Chazalmartin si nous nous devions de répartir équitablement le nombre d’actions pour l’ensemble des adhérents, et surtout avoir quelque poids au sein de « l’actionnariat », soit à minima 5%). Cette éventuelle « posture financière », en imaginant qu’elle nous permette de faire valoir nos opinions ou de voter ou non des décisions, ne serait en réalité, on peut légitimement le craindre, qu’un pis-aller sans suite ….

Actionnariat

En effet, les AG de sociétés, trop fréquemment, ressemblent à s’y méprendre à celles des syndics de copropriétés, où l’ordre du jour est déjà pré-enregistré en amont, comme lors des conseils d’administration ou des conseils de ministres. Trop rarement les actionnaires mécontents, souvent minoritaires, font valoir leurs droits et surtout n’obtiennent que quelques miettes pour les faire patienter…. Non, cette formule n’est ni fiable, ni viable.

Il est certain d’ailleurs que parmi nos adhérents, dans le cadre de leurs activités professionnelles, se trouvent quelques investisseurs individuels, ou même appartiennent à quelque conseil d’administration que ce soit. Il en est d’ailleurs parmi vous qui mentionnent les potentiels « tours de passe-passe » ! Ne se souvient-on pas des aléas, et des scandales qui ont figuré en bonne presse pour les manœuvres financières de toutes sortes dans les années 2000, et plus récemment encore ?

Le rapport annuel de 1855 ? Comment souscrire aux informations comptables qui y figurent (les chiffres sont encore plus « primeurs » , si l’on peut dire, que nos chers flacons), sachant les manipulations faites à loisir en amont sur les jeux de lignes budgétaires, et que nous ne saurions prétendre connaître, sauf à être assistés d’un cabinet d’experts comptables. Attendre une enquête financière ? Cela prendra, comme toute procédure en France, des années et des années. Comment dans ces conditions accorder quelque crédit que ce soit à ce type d’initiative ?

Pour rebondir sur une actualité récente il serait intéressant de connaître l’analyse des juristes sur la responsabilité des actionnaires qui ont décidé, malgré les difficultés de l’entreprise qu’ils ne pouvaient ignorer, de valider les comptes et les stratégies plus ou moins fumeuses pour échapper à la justice, et qui au bout du compte décident de laisser tomber : sont-ils pour autant exonérés de leurs responsabilités ? Ceci ne pourrait-il constituer une piste de poursuites ?

6 – Le conflit récurrent : agir seul ou en action groupée ? Les initiatives fortes

La procédure concertée est la meilleure formule pensons-nous, mais cela n’interdit nullement les actions individuelles. Chaque adhérent est absolument libre d’agir comme il l’entend afin de faire valoir ses droits. Nous pouvons soutenir ces actions, plus que de les accompagner, cette dernière attitude relevant du strict domaine juridique.

procedure judiciaire

Il ne s’agit pas ici d’avoir de plus en plus d’adhérents, l’association est aujourd’hui connue et les médias s’en font le relais ou la citent volontiers. La stratégie judiciaire doit à nouveau être réfléchie, plus encore à la lumière de la défection récente de l’un des principaux soutiens financiers. Dans ce cadre, les propositions intermédiaires, pour quelque louables qu’elles soient et auxquelles nombre d’entre nous ont déjà songé, sont à recevoir avec la plus grande attention. Tandis que les improvisations, pancartes et manifestations, ou opérations « coup de poings », méritent davantage encore le recul et les interrogations qui s’y attachent. En effet, elles oblitèrent possiblement notre démarche sur le fond, et elles risquent d’avoir un impact plus que réduit sans être appuyées par un média reconnu. Même si leur forme ne constitue pas en soi un obstacle, leur impact civique dépend avant tout du bon choix des circonstances et de leur déroulement. En cela la phase préparatoire est indispensable.

Ainsi le principal écueil de ces actions spontanées est qu’elles se transforment en « rounds » contre-productifs pour notre association. Nous ne cherchons, faut-il le rappeler, ni la moindre reconnaissance –nous en aurons de moins en moins besoin, s’établissant naturellement au fil de nos actions sans que nous ayons à nous en préoccuper– ni, encore moins, de nous ne savons quelle attitude ostentatoire, totalement hors sujet dans notre détermination à agir.

Eléments conclusifs et proposition

Nous constituons aujourd’hui un « groupe de pression », toutes proportions gardées, et qui, bien qu’il n’existe officiellement que depuis quelques 12 semaines, est déjà relevé par quelques médias, le système de « liens » en textes et pages de la toile faisant le reste, il n’y a pas mystère en définitive quant à notre « appellation », qui à tout le moins « parle » aux moins informés des amoureux du vin….

C’est déjà en soi une étape importante, mais elle ne constitue néanmoins, à ce stade, que la simple formalisation de notre « identité collective ».

Il s’agit à présent de la dynamiser par des actions au vu et au su du plus large éventail possible, mais aussi en s’appuyant sur les conseils d’une stratégie judiciaire la plus recommandable possible, et surtout la plus efficace pour chacun de nous.

Bien entendu l’on pourrait nous objecter d’adopter un comportement trop « poussif »….Mais la question alors mérite d’être posée quant à savoir si l’on préfère agir avec mesure et maîtrise, plutôt que de façon étiolée, sans visibilité ?

Nous vous posons ainsi la question….

Dans l’attente, voici une proposition nouvelle :

Il y a eu l’ »Impertinence de 1855 à l’InterContinental », selon notre page article du 21 novembre. Aujourd’hui se profile une autre soirée au cours de laquelle 1855 interviendra au cours d’un cocktail dînatoire :

Salons de chez Christie’s – 9, avenue Matignon 75008 PARIS –

Le Cercle des Etats Majors – 20 décembre 2012 – 19 heures.

L’AGEFI organise le 20 décembre 2012 dans les salons de Christie’s, le Cercle des Etats-Majors avec pour invité d’honneur Monsieur Denis Hennequin, Président-directeur général du groupe Accor.

Trois fois par an, à l’occasion d’une soirée privée en avant-première d’une vente de prestige, se réunit dans les salons de Christie’s un public de dirigeants issus des 500 entreprises recensées dans le guide des Etats-Majors.

Un invité d’honneur, issu du monde des affaires, s’entretient avec le directeur des rédactions de L’AGEFI sur un thème d’actualité.

A l’issue du débat, une dégustation de grands vins avec 1855 est organisée autour d’un cocktail dînatoire, dans un climat propice à des échanges de haut niveau.

Vous voulez agir ? Rendez-vous sur place, ou bien adressez vos protestations et vos signes de mécontentement, mais avec courtoisie et modération, aux différentes adresses mails suivantes

-Monsieur Francis Bellamari, Directeur des Grands Prix et du Cercle des Etats-Majors :

Notez qu’il s’agit là d’un échange de bons procédés : le 20 décembre, Accor utilise les services de 1855 pour son cocktail dînatoire, et fait bénéficier 1855, dès le lendemain 21 décembre à 10 h 30, en lui permettant d’utiliser les locaux de l’hôtel Ibis Ledru-Rollin, 41/43 Avenue Ledru-Rollin, 75012 PARIS, près de la Place de la Bastille, pour son assemblée générale !  Ibis appartenant au Groupe Accor comme vous vous en doutiez…

Vous pouvez ainsi constater qu’il y a toujours à faire, non ?

En vous remerciant d’avoir lu ce document jusqu’à son terme, comme par avance pour votre éventuelle action,

Bien cordialement,

Association ABUS1855.

8 réflexions sur « Fil de discussion Adhérents ABUS1855 – A votre écoute »

  1. Bonjour, victime de cette grande arnaque fin 2014 pour une commande d’un montant de 142.95 NON HONOREE, j’avais pu avoir quelques échanges par mail et tél avec la société 1855 qui m’avait promis remboursement ce mois courant. Quelle naïve ! mon mail m’est revenu et leur numéro de téléphone n’est plus attribué. Ma réclamation leur avait été adressée par recommandé le 16/12/2014. Pouvez vous svp me donner la procédure à suivre s’il en existe une!
    Merci par avance. Cordialement

  2. Je n’ai pas pris part aux votes de Décembre 2013, ni à celui du rapport financier, et encore moins à celui rapport moral, parce que le résultat de l’activité de notre association ne permet pas, en l’état, de la différentier d’une association de même type, mais qui serait l’émanation du Hérakles nouveau, avec pour motivation de canaliser, contenir notre colère, voire l’adoucir.
    Dites moi.

  3. Bonjour moi j’avais passé commande d’une valeur de 231€ en mars 2013, je ne suis toujours pas remboursé malgré mes differents mails et plaintes. Le dernier mail en date me disait d’aller demander un remboursement auprès des mandataires chargés des remboursement. J’imagine que c’est à nouveau parti pour quelques mois d’attente… en vain???

  4. Chaque semaine des huissiers se présentent à l’entrepôt afin de bloquer des vins. Dépéchez vous, il y aura bientôt plus de vins bloqués que disponibles. Le transporteur bloque aussi des palettes sur son quai afin de garder des marchandises contre paiement.

  5. ce jour 05/02/2013, mon huissier chargé du recrouvrement du jugement rendu c/1855, qui présente un débit sur tous ses comptes bancaires officiels, m’a dis continuer la procédure et en cas d’insuccès patents me conseillera la demande de mis en redressement judiciaire, qui selon lui déclenchera chez 1855 le paiement du jugement rendu.

  6. Bonsoir François,

    Vos observations à propos du point « 1 » vont tout à fait dans le sens qu’implicitement je souhaitais faire passer en indiquant qu’il ne fallait en aucune façon mentionner trop de détails. En somme il n’y a besoin que de quatre éléments : le nombre de bouteilles non livrées, la valeur d’acquisition H.T correspondante, l’année « moyenne » de référence ou millésime ainsi que la durée, exprimée en jours par exemple, de l’attente depuis la date de commande. Car vous conviendrez que ces dysfonctionnements affectent et les primeurs, surtout bien entendu dans les millésimes les plus prisés, mais aussi les commandes plus « classiques ». De plus, il ne s’agit pas là d’énumérer et de détailler les commandes passées; il s’agit, pour chaque adhérent, de fournir au maxima 4 éléments, par exemple: D. FIS : 27; 1140; 2009; 180. Un 5ème critère concernerait exclusivement la valeur relative actuelle de ces mêmes flacons, mais ici deux rapides observations: 1) les estimations sont très fluctuantes et variables selon les sources, plus ou moins reconnues. 2) nous n’avions pas, par ces achats, même différés, de posture spéculative -du moins je l’espère pour l’immense majorité de nos adhérents- mais bien plutôt le souhait, le voeu de bénéficier de ces vins pour les seuls motifs épicuriens, associés aux occasions diverses de la vie…
    Et bien sûr ce dernier nombre constitue en lui-même une source importante d’erreur d’appréciation qu’il vaut mieux ne pas intégrer dans notre mode de calcul. Il sera bien temps de fournir quelque approche prospective sur cette estimation pour la totalité de notre communauté d’adhérents.
    Aussi je vous rejoins tout à fait, cher François, lorsque vous mettez en avant le « poids » relatif que ces chiffres permettent d’apporter dans tout retour média. Nous en avons naturellement bien conscience mais nous souhaitons avant tout disposer de chiffres simples et certains quant aux préjudices, tout en respectant l’anonymat le cas échéant, le groupe chiffré ainsi constitué n’en aura que plus de force.
    Nous pourrons ainsi prochainement demander à tous les adhérents de fournir ces quatre et simples nombres, sans autre indication. A vos factures proforma !
    Didier FIS. Responsable Communication Association ABUS1855.

  7. Bonjour

    Je ne partage pas tout à fait votre avis sur le point 1. Je pense qu’au contraire cette « compilation » de nos préjudices est importante, ne serait-ce que pour asseoir la crédibilité de notre association.
    Aujourd’hui, si vous devez vous adresser à un journaliste, vous ne pouvez qu’indiquer le nombre de membres. Je trouve que cela a beaucoup plus de poids si vous pouvez dire : « nous représentons x clients, attendant la livraison de y centaines de bouteilles pour un montant (non réactualisé) de z dizaines de milliers d’euros ». Pour l’association, le combat ne se jouera que sur le terrain médiatique, faute de class action, tout élément renforçant notre poids sur ce terrain est important.
    Un fichier excel-type pourrait être rempli par chaque membre pour être ensuite compilé. Pas besoin de rentrer dans le détail de chaque bouteille, les quantités suffisent.
    Merci

  8. Avait passé une Cde chez 1855.com en septembre (pour 82€) – toujours pas livrée à ce jour et après plusieurs mails + tél sce client + encore nombreux mails (en fait j’ai innondé leur boite mail) …. hourra !!! je viens d’être remboursé – comme quoi faut pas se décourager … bonne chance à vous

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